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| résumé: j'ai crocheté mon portail, parce que la banlieue, ça va bien deux minutes mais c'est vaguement tristouille. Je préparais son premier anniversaire( dans trois semaines) . Vers deux heures du matin, nous avons été réveillé par la voisine (qu'elle soit bénie sur trois générations) il y avait deux mètre de flammes qui menaçaient la maison'aussi. Elle a appelé les pompiers, a lancé des bassines d'eaux, arrêté des voitures pour l'aider ( seule la dizième a daigné se porter à son secours, merci les gars). Sonné beaucoup pour nous réveiller mais on entendait pas , on est arrivés en même temps que les pompiers qui ont décroché ce qui restait. |
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| Depuis ça sent le brûlé et c'est triste. Bon, on est pas morts dans l'incendie. Mais la motivation de l'acte m'échappe. |
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| On m'a tellement demandé si la pluie, la neige, le soleil n'allait pas l'abimer. Mais c'est comme pour le reste, la connerie est bien plus dangereuse. |
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| Et puis des timbres, pas pour commémorer, juste pour le courrier. |
Des messages gentils, des gens qui ont toqué à ma fenètre
il y en a eu plein, merci à eux tous.
